La maison d’édition de l’histoire et des romans historiques
« Mieux vaut l’histoire écrite par les romanciers que l’histoire écrite par les historiens,
d’abord parce qu’elle est plus vraie, et ensuite parce qu’elle est plus amusante. »
Une saga palpitante qui plonge au cœur de la guerre de Cent Ans pour vous conduire, de complots en trahisons, d’amours en hauts faits d’armes, jusqu’à l’épopée légendaire de Jehanne d’Arc.
Un récit épique où petite et grande histoires s’entremêlent.
Nos personnages
La famille royale Charles VI
Isabelle de Bavière
Le dauphin Charles
Le Clan des Orléans
Le Duc d’Orléans
Valentine Visconti
Charles d’Orléans
Le Clan des Bourguignons Le Duc de Bourgogne, Jean Sans Peur
Caboche, chef des bouchers parisiens
Capeluche, bourreau des Halles
La saga des Trois Pouvoirs vous entraîne dans une époque oubliée : le règne de Charles VI.
Dans une atmosphère shakespearienne, deux clans vont s’affronter : d’un côté, les Armagnacs, partisans de la famille d’Orléans, et de l’autre les Bourguignons, sous l’égide du duc de Bourgogne, le terrible Jean Sans Peur. Meurtres, adultères, folie et trahison ébranlent alors la dynastie des Valois, au moment même où leurs cousins d’Angleterre, les Lancastre, s’apprêtent à traverser la mer.
Par ces temps cruels, la France peut toutefois compter sur un duo de choc : Guillaume de Gaucourt, chevalier aussi sagace qu’intrépide, qui va se mettre au service de Yolande d’Aragon, la puissante duchesse d’Anjou. Des rues de Paris aux plaines d’Azincourt, nos deux héros vont tout faire pour protéger la couronne. Jusqu’à ce que la duchesse apprenne de la bouche d’un brigand l’existence d’une jeune guerrière vivant aux marches du royaume et qui se dit l’envoyée de Dieu…
Pourquoi écrire une saga historique en 2021 ?
Parce que pour faire aimer l’histoire, rien ne vaut le romanesque. Comme le disait Alexandre Dumas, « mieux vaut l’histoire écrite par les romanciers que l’histoire écrite par les historiens, d’abord parce qu’elle est plus vraie, et ensuite parce qu’elle est plus amusante ».
La peste noire a disparu des villes, les routiers ont été chassés des campagnes, l’Université de Paris attire à elle des étudiants venus de toute l’Europe et les souverains de France et d’Angleterre, forts de leur bonne entente personnelle, ont signé entre leurs deux royaumes une trêve quasi perpétuelle.
Mais Charles VI, le roi Capétien, est fou. « Fol », dit-on alors, touché par un mal étrange qui s’apparenterait de nos jours à une forme aiguë de schizophrénie. Les périodes de pleine conscience alternent avec ses « absences » qui peuvent durer des jours ou des mois, et dont nul ne sait prévenir le déclenchement.
Profitant de cette faiblesse, trois princes convoitent son trône.
Au Moyen Âge, les femmes ne constituaient pas un simple élément du décorum mais prenaient une part active à la vie publique. Si bien que dans bien des cas, leur histoire s’avérait tout aussi passionnante que celle des hommes.
Dès lors qu’un seigneur s’éloignait de son fief, son épouse le remplaçait dans ses charges. L’exercice du pouvoir était d’autant moins théorique que pour l’exercer, ces grandes dames avaient d’importants moyens à leur disposition. Outre des palais bien à elles, elles disposaient de leurs propres « hôtels », c’est-à-dire d’un ensemble de domestiques et de conseillers tout entiers à leur service.
Mais en ces temps incertains, il était un autre cas de figure qui bouleversait l’ordre établi : le veuvage. C’est alors, pour la femme, une petite révolution. La veuve hérite d’un tiers du patrimoine de son époux, peut faire marcher un négoce, prendre des apprentis et diriger une entreprise. Il suffit de se référer ici à la vie fort documentée de Christine de Pizan qui, une fois veuve, devient soutien de famille. Elle cherche d’abord à récupérer des fonds par la voie judiciaire – ce qui prouve, au passage, que les femmes avaient le droit d’ester en justice – avant d’entreprendre de gagner sa vie à la pointe de sa plume. Ce faisant, elle devient la première femme de lettres que la France ait connue, bien avant madame de la Fayette, madame de Staël ou George Sand. Quant à Jeanne de Belleville, c’est à l’occasion de l’exécution inique de son mari Olivier de Clisson qu’elle se fait justicière. Sitôt connue la condamnation de lèse-majesté qui s’abat sur leur famille, elle se décide à prendre les armes, attaque les forteresses du roi de France, tue, massacre, et s’embarque en mer pour devenir corsaire.
C’est dire si ces femmes n’avaient pas froid aux yeux. Une fois devenues chefs de famille, il n’était rien qu’elles ne soient capables d’accomplir pour défendre leur honneur.
Certaines d’entre elles semblaient même nées pour l’aventure….
Ce sont les Grandes Dames de la guerre de Cent Ans, actrices à part entière de l’histoire de France
Dans Quentin Durward, Walter Scott nous brosse le portrait d’un Louis XI tour à tour généreux, cynique, superstitieux et surtout, terriblement manipulateur. Or en dépit de son absence de scrupules et de son indifférence à toute forme de pitié, de son machiavélisme, il est difficile pour le lecteur de ne pas s’y attacher.
Et c’est bien là le tour de force accompli par « le père fondateur du roman historique » que de parvenir à nous faire aimer un personnage qui ne recule devant aucun moyen, même les plus vils, pour asseoir ses ambitions. « Calme, artificieux, attentif avant tout à son intérêt personnel, il savait sacrifier tout orgueil, toute passion qui pouvaient le compromettre. Il avait grand soin de déguiser ses sentiments et ses vues à tout ce qui l’approchait, et on l’entendit répéter souvent que le roi qui ne savait pas dissimuler ne savait pas régner ; et que, quant à lui, s’il croyait que son bonnet connût ses secrets, il le jetterait au feu », nous avertit l’auteur dès les premières pages.
Ce Louis XI-là était aussi un homme d’esprit. Amateur de bons mots et doté d’un humour ravageur, voir scabreux, il se révèle par moment extraordinairement drôle. Dans un Moyen Âge finissant, son mépris du protocole et des valeurs chevaleresques semble préfigurer notre époque moderne. En ce sens, c’est un personnage très contemporain.
Son époque est, certes, fort éloignée de la nôtre, mais ses intrigues politiques et ses coups bas ne sont pas sans rappeler les fameux « coups de billard à trois bandes » si prisés par nos politiques d’aujourd’hui.
22 mars 1429, Jeanne d’Arc écrit au roi d’Angleterre. « Faites raison au Roi du Ciel, rendez à la pucelle qui est envoyée ici par Dieu, le Roi du Ciel, les clés de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. »
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